Feuilleter le livre
Recueil de poésie contemporaine à travers lequel l’auteur exprime, de manière assez robuste et soit par la prose ou par des strophes hyperréalistes, que «la vie s’étiole. Le temps s’échappe et la cascadeuse n’y peut rien.» Une poésie assez rugueuse et très personnelle qui fait tour à tour référence à Saint-Liguori et à sa région, à Nick Hornsby, à Shakespeare, à Bashung, mais aussi aux amis et au père de l’auteur, à l’ordinaire, au temps qui ne passe pas, au changement de pneus, à la bibliothèque, à la mort, au rêve, au Rubik’s cube, alors qu’il égraine ou liste ses observations, ses «lubies» et son ressenti. [SDM]