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Pour attraper l’autobus qui la conduit à l’école, la jeune narratrice doit chaque matin descendre une longue colline, puis traverser une forêt aux recoins sombres. Pour se donner du courage et oublier les ombres, les craquements et les hululements qui la font trembler d’effroi, mais également le vent mordant qui lui pique les yeux, elle inspire profondément et… chante. Au passage, elle salue également une lignée d’arbres très vieux qui se dressent comme des soldats silencieux, puis mademoiselle Margie qui est sur le balcon avec son chat. Puis, elle aperçoit enfin les phares rassurants du bus dans lequel elle grimpe et retrouve une amie qui lui sourit… [SDM]