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Les mots qu’il me reste : Violette Pesheens, pensionnaire à l’école résidentielle

Violette Pesheens a de la difficulté à s’adapter à sa nouvelle vie au pensionnat. Sa grand-mère lui manque et de sérieux affrontements éclatent entre des filles cries. De plus, tout le monde la dévisage dans cette école de blancs, et tout ce qu’elle a apporté lui a été confisqué, y compris son nom : elle n’est plus qu’un numéro. Mais le pire c’est la peur qui la tient. La peur d’oublier tout ce qu’elle a toujours chéri; l’anishnabe, sa langue, le nom des personnes qu’elle connaissait et ses coutumes. Bref, la peur d’oublier qui elle est. Son journal est le seul endroit où elle peut exprimer ses véritables inquiétudes, ses déchirements et se souvenir du passé. Peut-être qu’écrire lui permettra de finalement voir la lumière au bout de ce tunnel infernal. [Éd.]

  • version papier

Détails

18,99 $

  • Date de publication

    2017
  • Tranche d'âge

    À partir de 10 ans / Niveau moyen lecteur
  • Nombre de pages

    172
  • ISBN

    9781443156004

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