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Malgré sa petite taille et sa maladresse à l’épée, le jeune prince Olivier parvient à déjouer un terrible dragon qui, attiré par l’arôme sucré de la crème brulée des princesses, avait entrepris de compléter son repas avec celles-ci. Usant d’un stratagème aussi efficace que coquin, il gagne ainsi l’estime du royaume et réalise qu’il ne sera « jamais aussi bien armé qu’avec ses mots et ses idées »! (cf. p. [32]). [SDM]