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Edith Kabuya, porte-parole pour les 50 ans de CJ !

C’est avec un grand plaisir que CJ accueille Edith Kabuya, autrice, scénariste et traductrice, à titre de porte-parole pour la prochaine année.

Née à Montréal le 14 avril 1987, Edith Kabuya est diplômée de l’INIS et bachelière en psychologie de l’Université McGill. Elle est récipiendaire de la Bourse Netflix pour la diversité. Québécoise d’origine congolaise, elle souhaite refléter dans ses écrits la conciliation de ses deux identités culturelles à travers les manies, les valeurs et les origines des personnages qui peuplent ses univers.

Sa populaire trilogie fantastique Les Maudits, chaudement accueillie par le public et la critique, est publiée aux Éditions de Mortagne depuis 2012. Forte de ce succès, elle a ensuite fait paraître, entre 2018 et 2019, sa série Victoire-Divine. Les deux séries de romans ont aussi été publiées en France, aux Éditions Hachette, et sa trilogie Les Maudits vient également de recevoir les fonds FMC-SODEC pour une adaptation télévisuelle.

Une porte-parole, ça fait quoi ?

Edith Kabuya joue avec les mots depuis qu’elle est toute petite. Avide de lectures en tout genre, curieuse et passionnée, elle dévore avec intérêt ce qui se publie ici et ailleurs.

À titre de porte-parole de CJ, elle sera amenée à promouvoir la lecture et les activités de notre association auprès des jeunes et du grand public.

« Je suis très flattée de collaborer avec CJ pour promouvoir la lecture jeunesse. J’adore lire, mais j’adore SURTOUT parler de livres. » — Edith Kabuya

Par l’entremise d’articles, de capsules vidéo et de publications sur nos réseaux sociaux, l’autrice partagera son amour de la lecture, ses coups de cœur et ses découvertes littéraires. Elle souhaite engager la conversation avec les jeunes autour des bienfaits de la lecture et de la richesse et la qualité des œuvres d’ici pour la jeunesse. Un portrait de son parcours littéraire a été fait dans le magazine CJ, qu’est-ce qu’on lit ?, de mars dernier, et elle signera un article dans le magazine de juin.

Toute l’équipe de CJ est honorée qu’Edith porte son message !

 

 

Pour visionner le plus récent événement de CJ auquel Edith a participé:

Malédictions, légendes urbaines et frissons… l’horreur dans la littérature jeunesse | Causeries LIRE

 

 

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La 20e édition de Lire à tout vent/Readers Take Flight est en cours!

La 20e édition de notre grande tournée Lire à tout vent/Readers Take Flight se déroule à travers le Canada du 2 au 8 mai 2021. Et comme rien — pas même une pandémie — ne peut empêcher de transmettre et vivre le plaisir de lire et de plonger dans des univers de créatrices et créateurs d’ici, toutes les rencontres ont été prévues de manière virtuelle.

Communication-Jeunesse (CJ) et le Centre du livre jeunesse canadien (CLJC) sont heureux de collaborer à l’élaboration de cette tournée. En ce début mai, c’est ainsi plus de 340 rencontres qui auront lieu en français ou en anglais cette semaine dans le cadre de la tournée. De Campbellton à Chicoutimi, de Rossland (CB) à Airdrie (CB) en passant par Mashteuiatsh, Saint-Georges-de-Windsor et Pont-Rouge, près de 17 000 jeunes pourront rencontrer avec bonheur un des 46 créateurs et créatrices jeunesse d’ici participants.

Volet francophone
Annie Bacon : Saskatchewan

Dïana Bélice : Colombie-Britannique

Alain M. Bergeron : Whitehorse (YK) et Montréal

Steve Beshwaty : Alberta

Stéphan Bilodeau: Varennes, Québec, Boucherville, Deux-Montagnes, Welland (ON)

Lora Boisvert : Yukon

Jocelyn Boisvert : Ontario

Carolyn Chouinard: Nouveau-Brunswick

Lucile de Pesloüan : Nouvelle-Écosse

Alex S. Girard: Mashteuiatsh, Montréal, Québec, Saint-Prosper, Rossland (CB)

Andrew Katz : Montréal, Sainte-Brigitte-de-Laval, Laval, Boisbriand,

Magali Laurent : Laval, Gatineau, Saint-Jean-sur-Richelieu, Airdrie (AB), Montréal

Emmanuel Lauzon : Île-du-Prince-Édouard

Juliana Léveillé-Trudel : Mashteuiatsh, Montréal, Rossland (CB), L’Assomption, Welland (ON)

Diya Lim : Territoires du Nord-Ouest

Anne Renaud : Saint-Augustin-de-Woburn, Saint-Georges-de-Winsdor, Montréal, Chicoutimi, Longueuil, Saint-Urbain,

Élise Rivard : Montréal, Baie-Saint-Paul,

Pierre Rodrigue : Gatineau, Pont-Rouge, Pierre Rodrigue

Lina Rousseau : Welland (ON), Montréal,

Julie Royer : Gatineau, Saint-Eustache, Montréal, Laval

Mireille Villeneuve : Manitoba

Volet anglophone

Hatem Aly

Saumiya Balasubramaniam

Katherine Battersby

Michelle Barker

Charlene and Wilson Bearhead

Aidan Cassie

Cecil Castellucci

Paul Covello

Rita Cox

Natasha Deen

Lori Doody

Selina Eisenberg

Carolyn Fisher

Clayton Hammer

Mireille Messier

Debbie Ridpath Ohi

Kenneth Oppel

Shane Peacock

Jean E. Pendziwol

Monique Polak

Robin Stevenson

Kevin Sylvester

J.Torres

Nicola Winstanley

Carte blanche

Ce sont Nicole Testa et Annie Boulanger qui détiennent cette année la Carte blanche, qui leur permet d’élaborer un petit projet littéraire en classe. Deux groupes de maternelle 5 ans de l’école Moisson-D’Arts, à L’Isle-Verte, et à l’école des Vieux-Moulins, à Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup, travailleront dans un premier temps à la création collective d’un personnage bienveillant. Ensuite, inspirés de l’histoire de Lili Macaroni, les enfants fabriqueront leur propre papillon porte-peine.

Merci à tous nos partenaires qui ont contribué à l’organisation de cette tournée offrant ainsi à des milliers de jeunes la chance de vivre une expérience enrichissante en compagnie de créatrices et créateurs d’ici!

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Troisième édition de la Résidence Paule-Daveluy

C’est l’autrice Maryse Pagé qui rencontrera des élèves de secondaire 5 dans le cadre de la Résidence Paule-Daveluy 2021.

Maryse Pagé a fait carrière dans les médias comme recherchiste, dont une grande partie pour des émissions jeunesse. C’est en 2012 qu’elle se lance dans la grande aventure qui la passionne soit celle de l’écriture de romans jeunesse. Son premier tome de « Ce livre n’est pas un journal intime » se retrouve dans la liste des 100 livres jeunesse québécois et franco-canadiens incontournables de CJ. Elle verra sa trilogie adaptée en websérie à Télé-Québec. De plus, les droits d’adaptation de son roman Rap pour violoncelle seul ont été acquis pour en faire une série télé.

Au cours de quatre rencontres virtuelles*, un thème commun, celui de la liberté, unira les jeunes dans leur exploration de l’écriture. Ce thème pourra être exploité à leur manière et sous différents genres littéraires, afin de former un ouvrage collectif. L’autrice donnera aux jeunes les outils nécessaires pour trouver l’inspiration, structurer leur texte et créer dans le plaisir à partir d’exercices concrets, en mettant à profit son expérience littéraire.

Nul doute que ces rencontres seront l’occasion d’échanges enrichissants et stimulants !

Le projet de résidence est une initiative de la famille Daveluy afin de rendre hommage au travail de pionnière en littérature jeunesse que fut Paule Daveluy, cofondatrice et première présidente de CJ, de 1971 à 1973. Elle est assortie d’une bourse de 3000 $ et a lieu chaque année en avril et mai.

*En raison de la pandémie de COVID-19, toutes les rencontres se tiendront virtuellement.

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La journée internationale du livre pour enfants 2021

Célébrons la journée internationale du livre pour enfants !

Depuis 1967, le 2 avril, la journée internationale du livre pour enfants (JILE) a pour but de promouvoir l’alphabétisation, d’inspirer l’amour de la lecture et d’attirer l’attention sur les livres pour enfants. Une vraie fête pour les jeunes lecteur·rice·s, ainsi que pour les grand·e·s qui les accompagnent dans l’univers de la lecture !

La JILE est parrainée par l’International Board on Books for Young People (IBBY), que l’on peut traduire par « Union Internationale pour les Livres de Jeunesse », présente dans 75 pays. Chaque année, un·e auteur·rice écrit un message aux enfants du monde, et un·e célèbre illustrateur·rice crée une affiche. Ce matériel est ensuite utilisé de différentes façons pour promouvoir les livres et la lecture auprès des jeunes. Cette année, ce sont des créateur·rice·s des États-Unis qui sont à l’honneur. 

Trois rencontres CJ gratuites

Au Québec, la JILE donne lieu à de nombreuses activités dans certaines librairies et bibliothèques, ainsi que dans des écoles et services de garde. Communication-Jeunesse sera évidemment de la fête avec trois activités virtuelles à inscrire à votre agenda !

  • Le mercredi 31 mars, à 19h30, une conférence sur le thème de la peur dans la littérature jeunesse réunira les auteur·rice·s  Andrée Poulin, Édith Kabuya, Vincent Bolduc et Nicholas Aumais. Au cours de l’enfance, les peurs peuvent prendre différentes formes : la peur du noir, la peur de certains animaux, la peur d’être seul·e… Mais aussi la peur de parler, de dénoncer, de contester, du manque, de mourir, et plus encore. Alors comment parler de ces sujets sérieux et importants à des enfants en choisissant les bons mots ? C’est ce dont débattront les trois panélistes.
  • Le jeudi 1er avril, à 10h, un atelier Thème lire de 30 min sera présenté via un Facebook en direct pour les classes du primaire et pour les familles à la maison! Cet atelier virtuel qui sera animé par Nicholas Aumais depuis le studio CJ aura pour thème : Voyage au pays des livres. 
  • Le mercredi 7 avril, à 19h30, une soirée causerie avec Simon Boulerice, prolifique auteur de théâtre, de poésie et de fiction pour les adultes comme pour les jeunes, sera animée par la directrice générale de CJ Pénélope Jolicoeur. ll y sera question, dans une atmosphère intime et chaleureuse, de ses influences, de ses coups de cœur littéraires, de son processus créatif, de la place qu’il accorde aux souvenirs d’enfance dans ses récits, ainsi que de son œuvre et de son impact chez les jeunes qu’il a eu le bonheur de côtoyer.

Une invitation à célébrer avec nous

Ainsi, afin de sensibiliser le plus grand public à l’importance de la lecture chez les jeunes, CJ vous invite à prendre part au mouvement en présentant vos livres jeunesse préférés ou votre découverte littéraire du moment sur les réseaux sociaux avec le hashtag #JILEgoutdelire.

 

Illustration par Roger Mello, É-U.

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L’importance de se reconnaître dans les livres

Un texte de Josephine Watson pour prolonger les réflexions autour du Mois de l’histoire des Noirs.

 

Quand j’étais une petite fille, mon imagination était folle. Je voyais ce que mon esprit voulait voir, c’est-à-dire généralement quelque chose de fantastique que je lisais dans mes livres d’immersion en français. Comme Dinomir le géant violet, ou bien une image caricaturale découverte dans «  Je doute, je cherche, je trouve », mon premier dictionnaire de français.

Je ne comprenais pas encore le concept de représentation et son absence dans notre éducation. Jusqu’à ce que je prenne conscience que les personnages de mes livres ou dans les programmes pour enfants que je regardais comprenaient, en plus d’animaux ou d’êtres fantastiques, des gens généralement blancs. Il était effectivement très rare de voir un personnage de couleur, sauf dans les émissions « 1, rue Sésame » et « The Electric Company ».

De la même manière, les personnes de couleur au Nouveau-Brunswick, du moins dans ma jeunesse (les années 1980), étaient elles aussi rares. En fait, il y avait si peu de diversité dans ma ville, à la télé ou au cinéma que j’ai commencé à me sentir différente, hors-norme. D’une certaine façon, je sentais que j’avais besoin d’amener les gens à oublier que j’étais noire.

En vieillissant, la seule façon que j’ai trouvée pour éviter de me faire traiter de surnoms péjoratifs par les autres étudiant·e·s (généralement des garçons) et pour ne pas ressasser la frustration que je ressentais de ne pas avoir des cheveux aussi raides, des lèvres aussi fines et une peau aussi claire que les autres filles, ça a été de cacher mes vrais sentiments en faisant rire mes « copains et copines » de classe. 

Maintenant que je suis devenue une adulte, je me demande à quel point la vie est différente pour la jeune génération. À quel point son acceptation est meilleure et plus inclusive.

La diversité n’est pas un concept nouveau, mais elle gagne en popularité et devient de plus en plus la norme. Nous avons assisté à l’élection du premier président noir nord-américain, au succès mondial d’entrepreneurs comme Oprah, aux exploits scientifiques de Neil de Grasse Tyson ou d’astronautes noirs comme Mae C. Jameson et Ronald MacNair. Ici même, au Nouveau-Brunswick, la grande chanteuse d’opéra Measha Brueggergosman, le poète activiste El Jones et l’artiste visuelle Aleya Michaud s’illustrent pleinement.

Les allié·e·s de la cause noire sont également de plus en plus nombreux·ses et visibles. Nous observons une augmentation des relations interraciales et une meilleure compréhension des besoins des enfants noir·e·s et méti·sse·s. S’il a fallu à l’époque que ma mère déploie beaucoup d’efforts pour me trouver une poupée noire, il est nettement plus facile de s’en procurer à présent. Même chose pour les livres jeunesse présentant des enfants de couleur, essentiels pour le développement social et mental de ces jeunes.

Tout comme moi alors, les enfants se tournent vers leurs parents, leurs professeur·e·s, leur entourage pour savoir comment naviguer dans cette société. Iels recherchent des exemples à suivre pour combler leurs besoins et, plus tard, réaliser leurs rêves. Cela est vrai pour toustes les enfants. Quelle que soit leur couleur.

Les enfants noir·e·s méritent donc autant que les autres d’être encouragé·e·s, afin d’avoir confiance en elleux et de connaître leur valeur personnelle. Et chose plus importante encore, nous devons toustes comprendre et célébrer les contributions des personnes de couleur à notre pays et à notre existence quotidienne.

J’ai eu pour ma part la chance d’avoir été invitée à traduire Africville, dont la version originale anglaise a été écrite par Shauntay Grant, une autrice noire de la ville d’Halifax, en Nouvelle-Écosse. Elle y raconte l’histoire d’une jeune fille de couleur dans les Maritimes qui imagine à quoi ressemblerait une journée dans la vie d’un ou d’une enfant d’Africville, un quartier noir d’Halifax démoli dans les années 1960.

Les habitant·e·s d’Africville étaient des descendant·e·s d’esclaves et de soldats qui avaient combattu pour les Britanniques durant la guerre civile américaine. Iels étaient propriétaires de leurs maisons et payaient des impôts, mais la ville d’Halifax, qui les avait déjà privé·e·s de services pendant deux siècles, a quand même pris la décision unilatérale de détruire sans cérémonie leurs habitations au bulldozer et les a déplacé·e·s par la force dans des logements. Certaines familles ont déménagé par leurs propres moyens, d’autres ont été transporté·e·s dans des camions à ordures. Oui, je le répète, des camions à ordures !

Africville est un livre que j’aurais aimé avoir quand j’étais une enfant. Il m’a pour la première fois permis de me reconnaître dans ma communauté d’appartenance. Pourtant, la résilience de la communauté noire des Maritimes, une des plus anciennes du Canada, n’a jamais faibli.

Aujourd’hui, des groupes comme Black Lives Matter, à Fredericton, ont produit un site Web pour que les enseignant·e·s sachent comment enseigner l’histoire des noir·e·s dans les écoles des Maritimes. De plus en plus de personnes de couleur sont également invitées à partager leurs expériences dans des panels, à encadrer les enseignant·e·s dans des ateliers pour leur faire comprendre l’importance d’une éducation inclusive. Et les activités organisées chaque année au mois de février dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs (lectures, documentaires, films, performances et célébrations) sont de plus en plus nombreuses.

Notre prochaine étape ? Inclure l’histoire des noir·e·s à l’intérieur de celle enseignée tout au long de l’année scolaire, et non pendant cette seule période.

Ainsi, lorsque vous lisez Africville avec votre enfant ou vos élèves, sachez que l’histoire des noir·e·s qui y est dépeinte est vraie et qu’elle nous appartient à tous et à toutes.

 

Josephine Watson

Native de Fredericton et résidente de Moncton au Nouveau-Brunswick, Josephine est tombée amoureuse de la langue française dès son enfance. Actrice, poète et chanteuse, elle s’est illustrée sur la scène canadienne aussi bien dans des productions théâtrales que sur la scène du Festival de jazz de Montréal auprès de DJ Champion. Elle a récemment réalisé la traduction en français de l’album jeunesse Africville pour les éditions Bouton d’or Acadie.

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Soumettre un ouvrage au Prix TD 2021

Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse

Date limite d’inscription : 15 mars 2021

Le Centre du livre jeunesse canadien, Communication-Jeunesse et le Groupe Banque TD vous invitent à participer à l’édition 2021 du Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse. Ce prestigieux prix est décerné au livre se démarquant le plus par sa qualité et son originalité dans la production canadienne francophone. Les œuvres doivent avoir été publiées entre le 1er janvier et le 31 décembre 2020 et cibler les jeunes de 12 ans et moins.

Le Prix TD est le plus important des prix canadiens en littérature jeunesse. Il vise à mettre en valeur l’édition des livres jeunesse ainsi que les artisans œuvrant dans ce secteur.

Le jury :

Choisi·e·s en fonction de leur connaissance et de leur expérience en littérature francophone pour la jeunesse, les trois (3) membres composant le jury devront choisir les cinq (5) meilleurs titres parmi les livres reçus et tiendront une journée de délibération pour sélectionner le·la lauréat·e et les quatre (4) finalistes.

Le prix :

Le livre gagnant se méritera un montant de 50 000 $. Dans le cas d’un album ou d’un collectif, cette somme sera répartie à parts égales entre les auteur·rice·s et, le cas échéant, l’illustrateur·rice. De plus, un montant de 2 500 $ sera remis à la maison d’édition à des fins promotionnelles.

Un montant supplémentaire de 10 000 $ sera partagé entre les finalistes à titre honorifique.

Informations importantes :

Les éditeur·rice·s s’engagnt à payer les frais de soumission non remboursables de 25$ par titre et par prix.

Si un livre est présélectionné, l’éditeur·rice, l’auteur·rice et/ou l’illustrateur·rice peuvent être invité·e·s à participer à une série d’événements mettant en valeur et faisant la promotion du titre présélectionné, en plus de la cérémonie de remise des prix.

Le Centre du livre jeunesse canadien et Communication-Jeunesse ne sont pas en mesure d’assumer les frais de voyage et d’hébergement pour la cérémonie de remise des prix ou toute autre activité promotionnelle entourant la nomination du livre. Nous espérons que les éditeur·rice·s pourront aider le·la lauréat·e à fournir les ressources nécessaires pour assister à la cérémonie de remise des prix en personne (si cela est possible avec les mesures sanitaires en place lors de celle-ci) ou pour créer un discours d’acceptation vidéo de qualité appropriée si les créateur·rice·s ne peuvent pas assister à l’événement en personne.

La maison d’édition s’engage à préparer et encourager leurs auteur·rice·s et illustrateur·rice·s à participer à toute activité de promotion raisonnable associée au prix : entrevues, lectures, apparitions, etc. La maison d’édition gagnante s’engage à utiliser les 2 500$  qui lui ont été attribués pour faire la promotion du titre gagnant.

L’éditeur·rice accepte d’apposer le sceau du Prix TD de littérature jeunesse canadienne sur les copies des titres présélectionnés et du titre gagnant. Les sceaux seront fournis à la maison d’édition par le CLJC.

DATE LIMITE DE L’INSCRIPTION : le 15 mars 2021

Vous trouverez dans le document ci-joint les critères d’admissibilité ainsi que la fiche d’inscription.

Nous vous demandons de remplir une fiche d’inscription pour chacun des livres soumis et de nous faire parvenir quatre (4) exemplaires de chacun des titres inscrits ainsi qu’un fichier PDF du livre.

Télécharger la fiche d’inscription à remplir pour chaque titre

 

Récapitulatif

Nous vous demandons de nous expédier, d’ici le 15 mars 2021:

Vous devez également acquitter les frais d’inscription non remboursables de 25$ par titre soumis sur notre boutique en ligne ou par chèque payable au Canadian Children’s Book Centre. Le chèque devra être inclus dans l’envoi des livres à l’adresse suivante :

Pénélope Jolicoeur
Communication-Jeunesse – PRIX TD
1685, rue Fleury Est, bureau 200
Montréal, Qc
H2C 1T1
Tél. : 514-286-6020 poste 305

Veuillez lire attentivement la documentation ainsi que la fiche d’inscription.

L’envoi de votre liste de titres par courriel et l’acquittement des frais d’inscription confirmeront votre inscription au Prix TD 2021.

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Soumettre un titre au Prix Harry Black

Prix Harry Black pour l’album jeunesse

Date limite d’inscription 15 mars 2021

Le Centre du livre jeunesse canadien et Communication-Jeunesse vous invitent à participer à l’édition 2021 du Prix Harry Black 2021. Ce prix est décerné à l’album se démarquant le plus par sa qualité et son originalité dans la production francophone canadienne. Les œuvres doivent avoir été publiées entre le 1er janvier et le 31 décembre 2020 et cibler les jeunes entre 3 et 8 ans.

Le jury :

Le jury est composé de 3 membres qui sont choisi·e·s en fonction de leur connaissance et de leur expérience en littérature francophone pour la jeunesse.

Le prix :

Le livre gagnant se méritera un montant de 5 000 $.

DATE LIMITE DE L’INSCRIPTION : le 15 mars 2021

Vous trouverez dans le document ci-joint les critères d’admissibilité ainsi que la fiche d’inscription.

Nous vous demandons de remplir une fiche d’inscription pour chacun des livres soumis et de nous faire parvenir cinq (5) exemplaires de chacun des titres inscrits ainsi qu’un fichier PDF du livre.

Télécharger la fiche d’inscription à remplir pour chaque titre

Récapitulatif

Nous vous demandons de nous expédier, d’ici le 15 mars 2021:

Vous devez également acquitter les frais d’inscription non remboursables de 25$ par titre soumis sur notre boutique en ligne ou par chèque payable au Canadian Children’s Book Centre. Le chèque devra être inclus dans l’envoi des livres à l’adresse suivante :

Pénélope Jolicoeur
Communication-Jeunesse – PRIX HARRY BLACK
1685, rue Fleury Est, bureau 200
Montréal, Qc
H2C 1T1
Tél. : 514-286-6020 poste 305

Veuillez lire attentivement la documentation ainsi que la fiche d’inscription.

L’envoi de votre liste de titres par courriel et l’acquittement des frais d’inscription confirmeront votre inscription au Prix Harry Black 2021.

 

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Conférence Web LIRE : Liberté, Imagination, Rêve, Envol

Dans le cadre de cette conférence, Nicholas Aumais, de CJ, accueille les autrices Marie-Josée Gauvin, Guylaine Guay et Anik Jean pour discuter de l’importance et des impacts des livres dans la vie et l’imaginaire des enfants. 

Le plaisir de lire et de se faire lire se vit à tous les âges! En effet, nous ne sommes jamais trop vieux pour apprécier une belle histoire. La littérature jeunesse d’ici se démarque par la richesse de ses mots et de ses illustrations, mais aussi par le fait qu’elle contribue à forger l’imaginaire des enfants. À l’occasion de cette conférence, les autrices Marie-Josée Gauvin, Guylaine Guay et Anik Jean discuteront, en faisant référence à leurs expériences personnelles et à leurs processus d’écriture, de ce que les livres peuvent apporter et même changer dans la vie des enfants… et dans celle des gens qui écrivent pour eux!

  

Cette conférence aura lieu mercredi 17 février et coïncidera avec la deuxième journée annuelle Des livres canadiens pour moi. Cette journée se vivra autant dans les maisons que dans les écoles, les bibliothèques et les librairies de partout au pays et se veut une célébration nationale du livre canadien pour les jeunes.

Date : Mercredi 17 février à 19 h 30
Durée : 60 minutes
Conférencières invitées : Anik Jean (Nathan au pays des pirates), Guylaine Guay (Clovis a peur des nuages), Marie-Josée Gauvin (La princesse endormie)

Cette conférence est gratuite, mais l’inscription est requise ICI.

Merci à notre commanditaire Friesens Corporation! 

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Appel de candidatures pour la résidence Paule-Daveluy 2021

En collaboration avec la famille Daveluy, CJ lance un appel à candidatures pour une courte résidence dans une école secondaire, membre de Livroados, pour un auteur ou une autrice jeunesse.

La Résidence Paule-Daveluy désire souligner l’importance et le caractère unique du lectorat adolescent, de rappeler le rôle essentiel du plaisir de lire dans son développement et de saluer le travail des autrices et des auteurs qui, par leur créativité et leur imaginaire, offrent des clés aux jeunes pour apprivoiser la vie.

La résidence Paule-Daveluy a pour objectif de permettre à une autrice ou un auteur d’entrer en contact avec son lectorat et de faire découvrir son univers littéraire. La résidence permettra en outre aux jeunes de vivre une expérience privilégiée de création en compagnie d’un auteur ou d’une autrice d’expérience.

En 2021, la résidence prendra la forme de quatre (4) rencontres d’une heure pour élaborer avec les jeunes un court projet de création littéraire. Cette résidence jeunesse est assortie d’une bourse de 3000 $. Il est à noter que compte tenu de l’actuelle pandémie de COVID-19, toutes les rencontres auront lieu de manière virtuelle.

La résidence se déroulera en avril et mai 2021 à l’école secondaire Félix-Leclerc
250, boulevard Louis-Philippe-Picard, Repentigny, QC J5Y 3W9
450-492-3578
Niveau : 1 groupe de 5e secondaire

Critères d’admissibilité

  • Avoir publié au moins deux livres en français destinés à un public adolescent, au cours des cinq dernières années ;
  • Être disponible en avril et mai 2021 ;
  • Être auteur ou autrice membre de Communication-Jeunesse.

Pour devenir membre de Communication-Jeunesse : https://www.communication-jeunesse.qc.ca/membres

Dossiers de mise en candidature

Veuillez préparer les documents suivants pour poser votre candidature en ligne :

  • Notes biographiques à jour ;
  • Bibliographie à jour ;
  • Courte présentation du projet (env. 100 mots) ;
  • Coordonnées complètes : adresse complète, numéro de téléphone et courriel.

Pour poser votre candidature, remplissez le formulaire en ligne au plus tard le 19 février 2021.

À propos de Paule Daveluy

Figure de proue en littérature pour la jeunesse et cofondatrice de Communication-Jeunesse, Paule Daveluy est la première présidente de l’organisme, de 1971 à 1973, ainsi que membre d’honneur depuis 1991. L’auteure écrit non seulement pour la radio, mais aussi pour des revues, magazines et journaux. Son œuvre a été saluée à de nombreuses reprises, notamment pour son incontournable série pour la jeunesse Sylvette publiée entre 1958 et 1968 qui pose les bases d’une littérature jeunesse contemporaine alors en émergence au Québec. Son investissement et son impact ont d’ailleurs été soulignés par le Prix Claude-Aubry qu’elle reçoit en 1985 pour sa contribution marquante à la littérature de jeunesse Canada. En 1987, on lui décerne le Prix Fleury-Mesplet/traduction littéraire pour l’ensemble de ses traductions. En 1999, Paule Daveluy se mérite le titre de Chevalier de l’Ordre national du Québec pour l’importance de son œuvre et son apport considérable au rayonnement de la littérature québécoise pour la jeunesse. Paule Daveluy est décédée le 29 octobre 2016.

À propos de Communication-Jeunesse

Communication-Jeunesse est une association culturelle qui a pour mission la promotion de la lecture et de la littérature québécoise et franco-canadienne pour la jeunesse. Véritable référence en littérature d’ici pour la jeunesse, Communication-Jeunesse œuvre depuis 1971 à soutenir la création de productions littéraires et de rendre celles-ci accessibles aux jeunes d’ici.

Livroados est un programme de médiation de la lecture flexible et ludique qui vise à faire découvrir aux adolescents la production et ses créateurs par leur jeu, à développer leur culture littéraire et à leur faire vivre une expérience collective autour du livre.

Pour information sur cette résidence, veuillez communiquer avec :
Isabelle Chartrand Delorme, chargée de projet
i.chartrand-delorme@communication-jeunesse.qc.ca

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Trois autrices jeunesse à l’honneur dans des résidences scolaires montréalaises en 2021

Montréal, le 10 décembre 2020 – Le Conseil des arts de Montréal (CAM), le ministère de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MÉESR), par l’intermédiaire de son programme Une école montréalaise pour tous et Communication-Jeunesse sont heureux d’annoncer que Lora Boisvert, Jennifer Couëlle et Céline Leblanc Barsalo sont les lauréates des résidences dans trois écoles montréalaises.

Les trois créatrices auront le bonheur de vivre avec des dizaines de jeunes du primaire une expérience unique en littérature pour la jeunesse. Chacune de ces résidences est assortie d’une bourse de 10 000 $ ; le CAM et le MÉESR participant chacun à la hauteur de 5 000 $.

Lora Boisvert entamera une résidence à l’école Sainte-Marguerite-Bourgeoys (CSSPI) sous le thème d’une histoire dont vous êtes le héros. Elle initiera ainsi les jeunes de 3e année à cette forme particulière et aux possibilités d’écriture collective qu’elle offre. Au fil des ateliers, les élèves auront la chance de créer des personnages et des lieux qui serviront pour la construction du récit.

La résidence confiée à Jennifer Couëlle se tiendra quant à elle à l’école Gilles-Vigneault (CSSDM), où l’autrice proposera un projet documentaire dans lequel elle invitera les jeunes du 1er cycle à amener la joie à l’avant-plan de leur conscience. Tout au long des rencontres, elle compte inciter ces derniers à écrire et à dessiner les joies qu’ils connaissent ou ont connues et à les partager.

Finalement, à l’école Harfang-des-Neiges (CSSMB)Céline Leblanc Barsalo fera découvrir aux jeunes du 1er cycle l’univers fascinant du peintre Jean-Paul Riopelle grâce à un projet de poésie animalière tout en mouvements, en rimes et en surprises. L’autrice désire ainsi donner la chance aux jeunes de s’imprégner de beauté et de rêves, en ouvrant la porte à l’imaginaire et à la magie de la poésie.

Ces résidences se dérouleront de février à avril 2021. Ce projet unique au Québec est l’occasion d’échanges privilégiés entre des créateurs et créatrices jeunesse et les jeunes où ces derniers peuvent s’initier à la création littéraire tout en développant un lien privilégié avec les créatrices sélectionnées. De leur côté cette année, les autrices profiteront de leur présence en milieu scolaire et de leur proximité avec les jeunes pour enrichir leur processus de création et leur production littéraire.

À propos de Communication-Jeunesse

Communication-Jeunesse est une association culturelle qui a pour mission la promotion de la lecture et de la littérature québécoise et franco-canadienne pour la jeunesse. Véritable référence en littérature d’ici pour la jeunesse, Communication-Jeunesse œuvre depuis 1971 à soutenir la création de productions littéraires et de rendre celles-ci accessibles aux jeunes d’ici.

À propos du Conseil des arts de Montréal

Partenaire dynamique de la création artistique professionnelle montréalaise, le Conseil des arts de Montréal repère, accompagne, soutient et reconnaît l’excellence dans la création, la production et la diffusion artistiques. Il encourage l’ouverture, la découverte et l’audace au cœur du paysage artistique montréalais par ses actions structurantes. Depuis 1956, le Conseil des arts de Montréal contribue au développement de « Montréal, métropole culturelle ».

À propos du programme Une école montréalaise pour tous

Le programme de soutien Une école montréalaise pour tous, du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, vise la réussite et la persévérance scolaires de tous les élèves montréalais qui font face aux enjeux liés à la défavorisation, notamment en contexte pluriethnique.

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Pour information sur cette résidence, contacter :

Isabelle Chartrand-Delorme, chargée de projet, Communication-Jeunesse
i.chartrand-delorme@communication-jeunesse.qc.ca

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Congrès Pédago Fest

Description

Cette année, Communication Jeunesse organise le congrès Pédago Fest, un évènement qui vise à appuyer les professionnel·le·s de l’éducation dans l’actualisation et le perfectionnement de leurs pratiques. Le congrès a pour objectif de promouvoir les pratiques efficaces pour l’enseignement et l’apprentissage de la littératie au préscolaire, au primaire et au secondaire, avec comme toile de fond l’enseignement avec la littérature jeunesse. Pédago Fest s’adresse aux enseignantes et enseignants, aux conseillères et conseillers pédagogiques et à tout·e autre professionnel·le de l’éducation désirant rafraichir ses pratiques dans le domaine de la littératie. Tout en étant rigoureux sur le plan pédagogique, le congrès se veut également festif, car il vise à célébrer la profession enseignante et le travail remarquable des professionnel·le·s de l’éducation qui contribuent chaque jour à développer les jeunes lecteurs et lectrices et les jeunes auteur·e·s. Nous faisons appel à vous afin que vous nous soumettiez un projet de conférence, dont la durée sera de 1 h 15, incluant une période de questions. Toutes les informations nécessaires pour la présentation d’une candidature se trouvent dans le document.

Lieu et date

Communication-Jeunesse est à la recherche de conférencier·ères pour le Pédago Fest qui se tiendra le 12 et 13 août, au Centre de congrès Palace, à Laval ainsi qu’en virtuel.

Critères de sélection

Les conférences seront retenues en fonction de leur pertinence, de leur innovation et du lien entre le sujet choisi, la pratique de l’enseignement, et la littérature jeunesse. Nous souhaitons donc solliciter des propositions en lien avec : – Les pratiques pédagogiques et la littérature jeunesse au service de l’enseignement et l’apprentissage… • de la lecture ; • de l’écriture, de la grammaire ; • des mathématiques ; • des sciences ; • de l’univers social ; • des arts. – L’exploitation de la littérature jeunesse pour développer… • la pensée critique ; • la littératie numérique, médiatique et critique ; • les compétences à communiquer oralement ; • la conscience phonologique au préscolaire et au début du primaire ; • les habiletés sociales ; • les compétences en technologie. Il est à noter que cette liste n’est pas exhaustive. Il s’agit simplement de suggestions et l’équipe de Pédago Fest demeure ouverte à toute autre proposition d’atelier en lien avec la thématique.

Dossier de candidature

Votre proposition doit comprendre : – Le titre de la conférence ou de l’atelier. – Les coordonnées complètes et la biographie (environ 150 mots) de la personne responsable du projet. – Le curriculum vitae de la ou des personnes impliquées dans la conférence. – Le téléversement d’une photo de chaque formatrice ou formateur. (Cette photo sera affichée sur notre site Internet avec votre biographie si votre atelier est retenu. Veuillez inclure le crédit photo. Si votre atelier n’est pas retenu, la photo sera détruite.) – La description de votre sujet (environ 600 mots). – Le public cible (préscolaire, primaire ou secondaire). Il est à noter que les conférences dédiées au primaire se donneront deux fois dans la même demi-journée et les conférencier·ères recevront deux cachets. – Une description invitante de l’atelier proposé (environ 150 mots ; cette description sera celle qui sera publiée dans le programme du congrès). – Un plan du contenu de votre atelier incluant… a. les objectifs d’apprentissage visés par l’atelier proposé ; b. les stratégies d’animation privilégiées pour l’atelier proposé ; c. un résumé détaillé des points abordés dans le cadre de l’atelier proposé ; d. si le contenu de l’atelier s’appuie sur un ou plusieurs ouvrages didactiques, il est nécessaire de fournir une bibliographie de ces ouvrages.

Date limite

Votre proposition d’atelier devra être remplie ici : Formulaire de candidature

Rémunération, repas et frais de déplacement

• Chaque conférence durera 1 h 15. Le cachet octroyé sera de 300 $ par conférence. • L’inscription aux deux jours du congrès est gratuite pour les formatrices et les formateurs. • Le diner est fourni sur place. • Frais de déplacement en voiture à raison de 0,48 $ du kilomètre pour le déplacement aller-retour du domicile au Centre des congrès, ou l’équivalent du prix du billet d’autobus. Si vous avez des questions ou besoins de plus de précisions, n’hésitez pas à communiquer avec Marion Bacci, à l’adresse communicationjeunesse@gmail.com.
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Lauréats 2020 – Prix TD et Prix Harry Black

Dévoilement des lauréat·e·s du Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse et du Prix Harry Black de l’album jeunesse

Montréal (le 13 novembre 2020) – Le Centre du livre jeunesse canadien (CLJC) et Communication-Jeunesse (CJ) sont heureux de dévoiler les lauréat·e·s du Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse et du Prix Harry Black de l’album jeunesse.

Récompensé lors d’un événement virtuel organisé par Communication-Jeunesse dans le cadre du Salon du livre de Montréal (SLM), Jacques Goldstyn a remporté le Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse et 50 000 $ – le plus grand prix en argent pour la littérature jeunesse canadienne. C’est son album Les étoiles (Éditions de la Pastèque) qui s’est le plus démarqué par sa contribution générale à la littérature et l’excellence de son apport aux jeunes lecteurs de 0 à 12 ans. L’éditeur gagnant reçoit 2 500 $ à des fins promotionnelles, et 10 000 $ supplémentaires sont divisés entre les quatre autres finalistes pour leur contribution à la littérature jeunesse franco-canadienne.

« À la TD, nous sommes convaincus que la littérature jeunesse a un rôle essentiel à jouer dans l’éducation de nos enfants et la richesse de notre société. Nous sommes très fiers de célébrer le talent et la passion des auteurs d’ici depuis plus de 15 ans en présentant le Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse », souligne Sylvie Demers, présidente, Direction du Québec, du Groupe Banque TD.

Marie-Andrée Arsenault et Dominique Leroux ont quant à elles remporté le Prix Harry Black de l’album jeunesse et un montant de 5 000 $. Sacré meilleur album de langue française destiné aux enfants âgés de trois à huit ans, Des couleurs sur la Grave (Éditions la Morue verte) a su se distinguer par la qualité de son texte et de ses illustrations, par la présentation du matériel éditorial et la pertinence du style. « Nous tenons à féliciter les gagnantes du Prix Harry Black, Marie-Andrée Arsenault et Dominique Leroux, pour leur œuvre Des couleurs sur la Grave », affirme Laurent Larose, du Prix Harry Black. « Ce prix, créé à la mémoire de Harry Black qui est décédé en 2017, est inspiré de ses valeurs et de son indéfectible engagement envers les enfants du monde. L’album des deux gagnantes s’inscrit sans conteste dans la vision de Monsieur Black. Bravo ! »

Présidente des jurys du Prix TD et du prix Harry Black , Pénélope Jolicoeur, directrice générale de CJ, confie: « Le choix a été particulièrement difficile à faire cette année étant donné l’excellence de la production littéraire qui a été soumise aux prix. C’était une première pour CJ de voir à l’organisation et à la présidence de ces deux prix et nous avons été impressionnés par la rigueur avec laquelle les comités ont débattu de l’attribution des prix. Plusieurs livres auraient mérité d’être récompensés, mais Les étoiles et Des couleurs sur la Grave ont conquis les membres du jury. »

Au total, 67 500 $ ont été remis lors de cet événement, ce montant s’ajoutant aux 107 500 $ remis aux lauréats des 6 prix ​​du livre pour enfants de langue anglaise lors d’un autre événement virtuel à Toronto organisé dans le cadre du Toronto International Festival of Authors (TIFA), le 30 octobre dernier.

« Nous sommes particulièrement reconnaissant·e·s à nos commanditaires de soutenir et de valoriser les livres franco-canadiens et leurs créateur·rice·s: le Groupe Banque TD, le Centre for Equitable Library Access (CELA) et Mary Macchiusi », dit Rose Vespa, directrice exécutive du Centre du livre jeunesse canadien. « Les festivités n’auraient pas été possibles sans notre partenariat avec le Salon du livre de Montréal, qui nous a aidés à présenter la cérémonie de remise des prix à des gens de partout au pays, de façon aussi sécuritaire que festive ! »

Félicitations à toustes les gagnant·e·s et finalistes !

Téléchargez le PDF du communiqué de presse de l’annonce des finalistes ici.

Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse (50000$)
Commandité par le Groupe Banque TD

Les étoiles
Jacques Goldstyn (auteur et illustrateur)
Éditions de la Pastèque

« Avec ce bel éloge à l’enfance, Goldstyn s’intéresse à l’importance de reconnaître et d’accepter la différence des autres. Truffé de références littéraires subtiles, Les étoiles sait à la fois nous faire rire, nous émouvoir et nous faire réfléchir en nous livrant un message universel mais ô combien pertinent : l’amour ne connaît aucune barrière, qu’elle soit religieuse, culturelle ou sociale. De son style si unique, Goldstyn nous raconte une histoire douce remplie d’espoir avec délicatesse et finesse. Cet album est un véritable hymne à la beauté et à la richesse du monde. »

Les quatre autres finalistes du Prix TD :

  • Le grain de sable : Webster (auteur) et ValMo (illustratrice), Septentrion ;
  • Mon ami Pierrot : Annie Gravel (autrice) et Enzo (illustrateur), Planète rebelle ;
  • Pipo : Amélie Dumoulin (autrice) et Todd Stewart (illustrateur), Québec-Amérique ;
  • Quand le vent souffle : Todd Stewart (auteur et illustrateur), Nadine Robert (traductrice), Comme des géants.

MEMBRES DU JURY : Mathieu Arès, critique littéraire; Marika Brouillette-Drapeau, libraire; Marie-Ève Guibord, bibliothécaire jeunesse.

Prix Harry Black de l’album jeunesse (5 000 $)
Commandité par Mary Macchiusi

Des couleurs sur la Grave
Marie-Andrée Arsenault (autrice) et Dominique Leroux (illustratrice)
La Morue verte

« Véritable ballade poétique qui aborde de façon originale le thème de la séparation des parents mais du point de vue des enfants, ce récit exploratoire revisite également le conte du Petit Poucet et y allie des aventures aux Îles de la Madeleine. Des couleurs sur la Grave, c’est aussi la rencontre de toute une communauté dont les membres vont aider les fillettes à résoudre le mystère de la disparition de leurs parents. La plume délicate et poétique de l’autrice berce les lecteurs les lectrices sur les flots d’une histoire où la période de l’enfance peut être calme, mais aussi, comporter son lot de petites difficultés. »

Les quatre autres finalistes du Prix Harry Black :

  • La case 144 : Nadine Poirier (autrice) et Geneviève Després (illustratrice), D’eux ;
  • La corde à linge : Orbie (autrice et illustratrice), Éditions les 400 coups ;
  • Laurent, c’est moi ! : Stéphanie Deslauriers (autrice) et Geneviève Després (illustratrice), Fonfon ;
  • Le poisson et l’oiseau : Kim Thúy (autrice) et Rogé (illustrateur), Les éditions de La Bagnole.

MEMBRES DU JURY
Raymond Bertin, journaliste culturel; Sophie Kurler, bibliothécaire; Sophie Michaud, chargée de cours en littérature pour la jeunesse.

Pour plus d’informations, veuillez contacter :

Pour le Prix TD :

Béatrice Gougeon
Conseillère

beatrice@morinrp.com
Morin Relations Publiques
1425, boul. René-Lévesque Ouest, bureau 900
Montréal (Québec)  H3G 1T7
Cell. : 514 688-3936
www.morinrp.com

Pour le Prix Harry black et toute autre information :

Pénélope Jolicoeur
Directrice générale

p.jolicoeur@communication-jeunesse.qc.ca
cell.: 514-567-1307
1685, rue Fleury Est, bureau 200
Montréal  Qc  H2C 1T1
www.communication-jeunesse.qc.ca

Pour les prix de langue anglaise :

Emma Hunter
Marketing and Communications Coordinator

The Canadian Children’s Book Centre
416 975-0010 ext. 2
emma@bookcentre.ca