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Deux nouveaux programmes de médiation!

Communication-Jeunesse a le plaisir de vous présenter ses deux nouveaux programmes de médiation du livre! Ces deux programmes complètement gratuits et accessibles partout au pays s’adressent aux enseignant·e·s, au animateur·rice·s, au bibliothécaires, aux parents et toute autres personnes souhaitant stimuler l’intérêt envers la lecture chez les jeunes. L’Académie Livrovore propose des contenus pour les élèves du primaire, tandis que LivroAdos concentre ses efforts sur ceux du secondaire. Les deux programmes sont aussi des communautés où chacun est libre d’apporter sa contribution!

 

L’académie Livrovore

(primaire)

Pour s’inscrire et recevoir la trousse

Pour rejoindre le groupe Facebook:

L’AcadémieLivrovore

 

 

LivroAdos

(secondaire)

Pour rejoindre le groupe Facebook et avoir accès au contenu exclusif:

LivroAdos

Pour s’inscrire à l’infolettre

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Dévoilement des finalistes pour le Prix TD et le Prix Harry Black!

Voici les finalistes 2021 du Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse et du Prix Harry Black de l’album jeunesse !

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE – Montréal (le 14 septembre 2021) — Le Centre du livre jeunesse canadien (CLJC) et Communication-Jeunesse (CJ) sont ravis d’annoncer les finalistes du Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse et du Prix Harry Black de l’album jeunesse.

  • Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse (50 000 $)
  • Prix Harry Black de l’album jeunesse (5 000$)

Les titres proposés représentent la qualité exceptionnelle des œuvres de créatrices et créateurs d’ici. Chaque titre mis en candidature a apporté une contribution précieuse à la littérature jeunesse canadienne.

« Félicitations à tous les finalistes !», a déclaré Rose Vespa, directrice générale du Centre du livre jeunesse canadien. « Tous les livres finalistes ont été publiés au cours d’une année sans précédent et apportaient une vive lumière pour les jeunes lecteurs aux prises avec l’incertitude et la peur. »

«  Chaque année, lorsque j’ai entre les mains les livres en nomination, je suis émerveillée de constater la qualité exceptionnelle de notre production littéraire québécoise et franco-canadienne pour la jeunesse », ajoute Pénélope Jolicoeur, directrice générale de Communication-Jeunesse.

Le CLJC remercie tous ses commanditaires pour leur soutien continu. Grâce au Groupe Banque TD, le Centre est en mesure d’offrir le plus grand prix en littérature jeunesse canadienne. Les commanditaires et donateurs du CLJC sont essentiels pour rendre ce programme de prix possible et nous permettre de soutenir les artistes canadiens.

« Toutes nos félicitations aux finalistes du Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse ainsi qu’aux finalistes des prix littéraires jeunesse de cette année », souligne Sylvie Demers, Présidente, Direction du Québec, Groupe Banque TD. « La lecture est le plus beau cadeau que l’on puisse offrir aux enfants. Chaque histoire contribue à éveiller leur curiosité, à stimuler leur imagination et à les soutenir dans leur développement et leur réussite scolaire. Appuyer l’apprentissage des jeunes est un élément clé de La promesse TD Prêts à agir, notre plateforme mondiale d’entreprise citoyenne, et une valeur importante que nous sommes fiers de partager avec le Centre du livre jeunesse canadien. »

« La carrière d’Harry Black a été principalement dédiée aux bien-être des enfants du monde », rappelle Laurent Larose du Prix Harry Black. « Pendant plus de 25 ans, en tant que président d’UNICEF Canada, il a amené les canadiennes et canadiens à soutenir concrètement des projets de santé, d’eau et d’assainissement, de nutrition et d’éducation auprès des enfants des pays en développement. Il croyait dans l’éducation comme moyen de favoriser l’essor des enfants les plus vulnérables. Il était lui-même auteur et illustrateur de livres pour la jeunesse. Je tiens à féliciter chaleureusement les finalistes 2021 pour leur remarquable travail. »

Les lauréat·e·s des Prix francophones seront annoncé·e·s lors d’une cérémonie virtuelle animée par Pénélope Jolicoeur, lors du Toronto International Festival of Authors (TIFA) dans le cadre de sa programmation TIFA Kids! Une captation en direct de l’événement sera disponible gratuitement pour tous et toutes, et la cérémonie sera par la suite disponible sur les chaînes YouTube de Bibliovidéo et de Communication-Jeunesse. De plus amples informations sur l’événement virtuel seront disponibles le 22 septembre.

Dans l’ensemble des Prix de langue française et anglaise, 175 000 $ en prix seront attribués. Le Centre du livre jeunesse canadien et Communication-Jeunesse sont fiers de partager les titres nominés et les commentaires des jurys.

 

Pour plus d’information, veuillez contacter :
Ariane Richard
Conseillère principale
ariane@morinrp.com
Morin Relations Publiques
1425, boul. René-Lévesque Ouest, bureau 900,Montréal (Québec) H3G 1T7
Cell. : 438 822-2845
www.morinrp.com
Pour le Prix Harry Black et toute autre information :

Pénélope Jolicoeur
Directrice générale

p.jolicoeur@communication-jeunesse.qc.ca
cell.: 514-567-1307
1685, rue Fleury Est, bureau 200
Montréal  Qc  H2C 1T1

Pour les prix de langue anglaise :

Emma Hunter
Marketing and Communications Coordinator

The Canadian Children’s Book Centre
416 975-0010 ext. 2
emma@bookcentre.ca

 

 

Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse

(50 000 $)

Commandité par le Groupe Banque TD

 

Aurore et le pays invisible
Écrit par Christiane Duchesne (Montréal, Qc)
Éditions Québec Amérique
9 ans et plusDans la grande tradition des contes merveilleux, Christiane Duchesne a élaboré, avec Aurore et le pays invisible, une fable captivante aux personnages plus vrais que nature. La plongée d’une enfant dans un univers miniature la conduit, et les jeunes lecteurs et lectrices avec elle, dans une réflexion profonde, philosophique, sur la relativité de toute chose. Toute la vie y est : ses espoirs et déceptions, ses défis et échecs, ses conflits et réconciliations. Une œuvre mémorable.

C’est quoi l’amour ?
Écrit par Lucile de Pesloüan (Parix, France)
Illustré par Geneviève Darling (Montréal, Qc)
Éditions de l’Isatis
11 ans et plusUn grand coup de cœur pour ce livre, mais aussi pour la collection griff dans laquelle il paraît. C’est quoi l’amour est un album inclusif, simple et réel. Parsemé par des images vives et diversifiées, l’ouvrage est une exploration  de l’amour sous toutes ses formes. On y aborde non seulement  l’amour amoureux, mais aussi l’amour des causes sociales et l’amour de la planète, comme quoi, l’amour est souvent plus grand que nous même. 

Colle-moi
Écrit par Véronique Grenier (Sherbrooke, Qc)
Groupe d’édition La courte échelle
9 ans et plusMagnifique œuvre en prose où le thème principal de la séparation des parents est abordé avec des images très évocatrices. Les poèmes originaux, écrit au « Je, sont tellement bien rythmés qu’il faut absolument les lire à voix haute pour en saisir toute leur accessibilité. La collection Poésie des éditions La courte échelle a su créer un petit bijou avec ce recueil destinés aux enfants de 9 ans et plus; leur permettant ainsi de découvrir une autrice, déjà bien établie, à la plume très sensible. 

Ma maison-tête
Écrit et illustré par Vigg (Saint-Denis-sur-Richelieu, Qc)
Éditions Fonfon
6 ans et plusCet album est en soi une expérience de lecture, à la fois agréable et prenante, avec son narrateur touchant de désarroi et d’envie de comprendre ce qui se passe dans sa tête. Le traitement du thème du déficit de l’attention, loin du didactisme, est original tant par le texte que par l’image et la typographie. Les illustrations magnifiques aident à saisir les enjeux, en misant sur quelques détails frappants dans un ensemble relativement dépouillé. Une belle réussite !

Pokko et le tambour
Écrit et illustré par Matthew Forsythe (Montréal, Qc)
Traduit par Nadine Robert (Montréal, Qc)
Éditions Comme des géants
4 ans et plus

Un album jeunesse qui nous renverse par ses couleurs éclatantes et ses personnages attachants. L’album tout en simplicité aborde la persévérance, le partage et surtout l’amour de la musique! Chaque page est un monde en soi, empreinte de sensibilité et d’humour. Pokko est un petit chef d’œuvre qui nous surprend à chaque relecture! Vivement la suite!

MEMBRES DU JURY :
Raymond Bertin, 
journaliste culturel,
Marika Brouillette-Drapeau, libraire jeunesse,
Sophie Kurler, bibliothécaire jeunesse.

Prix Harry Black de l’album jeunesse

(5 000 $)

Commandité par Mary Macchiusi

 

Albertine Petit-Brindamour déteste les choux de Bruxelles
Écrit par Anne Renaud (Westmount, Qc)
Illustré par Élodie Duhameau (Montréal, Qc)
Groupe d’édition La courte échelle
4 ans et plusAvec Albertine Petit-Brindamour déteste les choux de Bruxelles, Anne Renaud nous offre un album hilarant qui dépeint magnifiquement bien l’aversion des jeunes enfants pour ce petit légume vert qu’est le chou de Bruxelles. Grâce à son imagination débordante, à sa détermination et à sa curiosité, cette mignonne petite fille nous démontre qu’il est non seulement possible d’apprendre à les apprécier, mais que, en plus, ils sont dotés d’un superpouvoir. Les illustrations expressives et colorées d’Élodie Duhameau représentent à merveille la personnalité d’Albertine et viennent renforcer le ton humoristique de l’histoire dont le vocabulaire est riche et varié. Un album qui fait rire aux éclats autant les petits que les grands.   

Le grand méchant loup dans ma maison
Écrit par Valérie Fontaine (Saint-Jean-sur-Richelieu, Qc)
Illustré par Nathalie Dion (Montréal, Qc)
Éditions Les 400 coups
7 ans et plusÀ l’aide d’une métaphore filée du loup et des trois petits cochons, Valérie Fontaine explore avec beaucoup de doigté la maltraitance physique et psychologique et se démarque ainsi de tout ce qui a été fait auparavant sur la violence familiale. Le récit court, efficace et troublant se termine sur une note d’espoir. L’autrice parle, entre autres, des maisons d’hébergement pour les femmes et leurs enfants, sujet novateur en littérature pour la jeunesse. Dans un style épuré et sobre, les illustrations de Nathalie Dion, à la fois magnifiques et poignantes, transmettent avec beaucoup de réalisme les émotions vécues par des personnages.

L’horoscope
Écrit par François Blais (Charlotte, Qc)
Illustré par Valérie Boivin (Québec, Qc)
Éditions Les 400 coups
7 ans et plus

Avec L’horoscope, François Blais exploite l’anxiété, un thème d’actualité, de façon à la fois juste, drôle et touchante, où il montre ce qui se passe dans l’imagination d’un être routinier quand il laisse toute la place à sa peur des imprévus et à l’anticipation de ces derniers. Le texte, rempli d’humour, marié aux jolies illustrations de Valérie Boivin, offre une œuvre forte d’une grande portée qui touche le lecteur et le fait réfléchir. 

Ma maison-tête
Écrit et illustré par Vigg (Saint-Denis-sur-Richelieu, Qc)
Éditions Fonfon
6 ans et plusVigg réussit un tour de force en présentant le trouble du déficit de l’attention à hauteur d’enfant. Lorsque le jeune Vincent ne trouve pas les mots pour réciter la fable Le corbeau et le renard, il ouvre la porte de sa maison-tête afin d’en montrer les mécanismes et met des mots et des images sur ce que vivent dans l’ombre nombre d’enfants et d’adultes. Brillamment illustrées, les pièces de la maison racontent autant le tourbillon des pensées et ses contrecoups que les lieux de refuge et d’imaginaire. Et toujours, en trame de fond, ce désir de Vincent d’être comme tout le monde. Ma maison-tête est un bijou unique et sensible. 

Le tricot
Écrit et illustré par Jacques Goldstyn (Mont-Royal, Qc)
Éditions de la Pastèque
5 ans et plusLe tricot prouve une fois encore l’intelligence, le talent et la sensibilité de Jacques Goldstyn. En quelques pages, il parvient à tisser un récit auquel viennent s’imbriquer de multiples histoires. Une seule écharpe lui suffit à faire remonter les aiguilles de la pendule pour qu’une grand-maman raconte sa vie à sa petite-fille. Une vie dans laquelle se mêlent souvenirs, moments historiques et traditions. L’écharpe porte en elle la lenteur que demande la confection d’un tricot autant que la rapidité de la modernité où tout semble passer en coup de vent. Surtout, elle fait l’éloge de la transmission des savoirs par laquelle l’histoire continuera à inscrire sa marque dans le temps. Le tricot se laissera détricoter et retricoter plus d’une fois, au grand bonheur des lecteurs, qu’ils soient petits ou déjà très grands.

MEMBRES DU JURY :
Catherine Chiasson, libraire-propriétaire,
Marie-Eve Guibord, bibliothécaire scolaire,
Sophie Michaud, chargée de cours en littérature pour la jeunesse

 

À propos du Centre du livre jeunesse canadien
Le Centre du livre jeunesse (CLJC) est un organisme national à but non lucratif enregistré sous l’appellation de charité. L’implantation du CLJC en 1976 a changé pour toujours le paysage de la littérature jeunesse et le monde de l’édition au Canada, en offrant la première infrastructure pancanadienne à encourager la mise en marché, la promotion, la création du livre jeunesse, tout autant que sa diffusion et son utilisation partout au Canada. Le CLJC est une ressource culturelle essentielle dans tout le pays dont six bibliothèques régionales au Canada mises à la disposition de toute personne intéressée à la littérature jeunesse. Pour plus d’information, veuillez-vous référer à centredulivrejeunesse.ca.

À propos de Communication-Jeunesse
Communication-Jeunesse est un organisme à but non lucratif d’envergure nationale oeuvrant depuis 1971 à faire connaître et apprécier la littérature québécoise et franco-canadienne destinée aux jeunes de 0 à 17 ans. La vitalité de l’organisme repose en grande partie sur la qualité de sa vie associative et l’engagement de ses membres est au cœur de son fonctionnement depuis sa création. Les membres de Communication-Jeunesse enrichissent ses actions et favorisent son développement avec autant de rigueur que d’énergie. Pour en savoir plus, visitez : communication-jeunesse.qc.ca

À propos du Prix Harry Black de l’album jeunesse
LE CLJC est honoré et fier de la création de ce prix qui a été conçu pour honorer la mémoire de feu Monsieur Harry Black. Parmi ses nombreuses réalisation, Harry Black a été un directeur très apprécié d’UNICEF Canada. Auteur et illustrateur à part entière, il aimait les livres pour enfants et pensait que l’édition canadienne était extrêmement importante pour le pays. Il estimait que le monde de l’édition française et anglaise au Canada devait travailler ensemble de façon plus étroite. Afin de souligner l’importance de son travail, au nom des enfants du monde et des services rendus à sa nation, Monsieur Black a reçu l’Ordre du Canada en 2003.

À propos de la responsabilité sociale à l’échelle mondiale de la TD
La TD est déterminée depuis longtemps à enrichir la vie de ses clients, de ses collègues et de ses collectivités. Dans le cadre de sa plateforme d’entreprise citoyenne, La promesse Prêts à agir, la TD vise un don aux collectivités d’un milliard de dollars canadiens (775 millions de dollars américains) au total d’ici 2030 dans quatre domaines essentiels pour ouvrir les portes à un avenir plus inclusif et durable : Sécurité financière, Planète dynamique, Collectivités inclusives et Meilleure santé. Par La promesse Prêts à agir, la TD aspire à relier ses activités, ses initiatives philanthropiques et son capital humain pour aider les gens à se sentir plus en confiance, pas seulement par rapport à leurs finances, mais aussi par rapport à leur capacité à atteindre leurs objectifs personnels dans un monde en évolution. Pour en savoir plus, visitez : td.com/lapromessepretsaagir

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Carte blanche à la diversité

NOUVEAU! Appel de projets pour mettre de l’avant la diversité culturelle en littérature jeunesse.

En partenariat avec la Fondation Chamandy, Communication-Jeunesse lance cet automne un programme Carte blanche à la diversité. Ce dernier a pour objectif de mettre de l’avant et d’encourager les créateurs et créatrices de la diversité culturelle dans la littérature jeunesse québécoise et franco-canadienne. Il s’adresse à toute créatrice ou tout créateur en littérature jeunesse ayant une origine autre que canadienne, québécoise, française ou britannique ou des Premières Nations.

Les créateurs et créatrices jeunesse de partout au Québec et au Canada sont ainsi invités à poser leur candidature et à soumettre leurs projets pour ces cartes blanches qui auront lieu dans le courant de l’automne 2021 (octobre à décembre).

Une Carte blanche consiste, pour chaque créatrice ou créateur, à rencontrer 2 classes d’élèves, à 3 reprises chacune, pour un total de 6 rencontres. Le cachet pour chaque Carte blanche est de 1500 $ (+ taxes, si applicables).

Les rencontres se dérouleront près du lieu de résidence des créatrices et des créateurs, partout à travers le Canada francophone. À moins d’avis contraire (contraintes sanitaires), les rencontres se tiendront en présentiel. Advenant le cas de rencontres virtuelles, l’école fournira à CJ le type et les accès de la plateforme collaborative à laquelle elle a recours. 

Veuillez préparer les documents suivants pour poser votre candidature en ligne :

Notes biographiques à jour ;

Bibliographie à jour ;

Courte présentation du projet proposé (env. 100 mots) ;

Coordonnées complètes : adresse complète, numéro de téléphone et courriel.

Pour poser votre candidature, remplissez le formulaire en ligne au plus tard le 13 septembre 2021.

Pour toutes questions, vous pouvez communiquer avec Isabelle Chartrand-Delorme, chargée de projets et responsable des événements.

À propos de la Fondation Chamandy

La Fondation Chamandy est une fondation familiale privée basée à Montréal et fondée en 2015, avec pour objectif d’améliorer les conditions de vie de la nouvelle génération, afin de leur assurer un avenir meilleur. Elle a pour mission d’avoir un impact durable et positif sur la société et s’engage à contribuer à améliorer leur vie en faisant des dons dans les domaines de la santé, l’éducation, l’environnement, la pauvreté et la recherche. https://chamandyfoundation.org/fr/.

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Appel aux écoles : Inscrivez-vous à des résidences en littérature jeunesse!

Avis aux écoles situées sur le territoire de Montréal : l’inscription pour des résidences en littérature jeunesse 2022 est en cours jusqu’au 14 septembre 2021!

* Ce projet s’adresse aux écoles ciblées par le programme Une école montréalaise pour tous des Centres de services scolaires De Montréal, Marguerite-Bourgeois et Pointe-de-l’Île ainsi que des Commissions scolaires English Montreal et Lester B. Pearson. *

En partenariat avec le Conseil des arts de Montréal et Communication-Jeunesse, le projet de résidence offre l’occasion de recevoir à l’école un créateur ou une créatrice, à savoir un auteur ou une autrice, ou un illustrateur ou une illustratrice de livre jeunesse. Les résidences se dérouleront en français, à compter de février 2022, pour une durée de 9 à 12 semaines. Cinq écoles seulement seront sélectionnées; faites vite!

Pour tous les détails et pour vous inscrire, consultez le site Web d’Une école montréalaise pour tous : https://ecolemontrealaise.info/projets/residence-en-litterature-jeunesse/. 

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Un aperçu du magazine du mois d’août !

Communication-Jeunesse publie un magazine trimestriel où la littérature jeunesse d’ici est mise de l’avant grâce à une sélection de livres et des articles suivant une thématique donnée.

Numéro 3 – Automne 2021

Thème: Le milieu du livre jeunesse

Illustration: Marianne Dubuc

POUR TÉLÉCHARGER LE MAGAZINE

 

Articles par Communication-Jeunesse

«Panorama historique des genres en littérature jeunesse d’ici», par Pierre-Alexandre Bonin

«La médiation du livre, c’est quoi ?», par Anne-Marie Fortin

«Des albums pour tous les âges», par Pierre-Alexandre Bonin

«Les résidence scolaires de Montréal: la nécessité d’aller à la rencontre des jeunes», par Martine Latendresse Charron

«Incursion dans la littérature jeunesse autochtone»,  sélection thématique de livres

 

Articles avec collaborateur·rice·s

«L’émoi d’une première publication», entrevue avec Anouk Mahiout à propos de Pauline, une petite place pour moi

«Pas de changement, pas d’agrément…», par Robert Soulières

«La marché international du livre jeunesse», rencontre avec Geneviève Després

«Faire briller les nouveautés en classe», par Stéphanie Fréchette 

«Pour l’amour des mots et de l’enfance», entrevue avec Pierrette Dubé

»Des ateliers littéraires passionnants et porteurs», par Karyne G.

«5 jeux pour toute la famille», par Pascale Clavel 

»Le livre jeunesse, lieu de rencontre avec les premières nations», entrevue avec Isabelle Picard à propos de sa série Nish

«Sport et lecture, un bon duo !»,  par Multisport plus, avec une sélection thématique sur le basket, par CJ

«La BD jeunesse d’ici : faites votre choix», par Marie-Hélène Marcoux

«Édition trois en un en Colombie-Britannique», par Louis Anctil des Éditions du Pacifique Nord-Ouest

 

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À la rencontre des Premières Nations : des rencontres inspirantes!

Même en virtuel, un printemps improbable a fleuri en avance dès le mois de mars 2021 avec la 3e édition du projet de rencontres avec des créateurs et créatrices autochtones. Jani Bellefleur-Kaltush, Maya Cousineau Mollen et Jocelyn Sioui ont ainsi accepté d’effectuer une courte résidence de six rencontres auprès d’un même groupe de jeunes. Il et elles ont élaboré avec ces derniers un projet de création portant sur l’identité et la fierté autochtone et la réconciliation.

Maya Cousineau Mollen : poésie et mémoire

Maya Cousineau Mollen, autrice Innue-Montagnaise originaire de Mingan, a partagé ses réflexions en lien avec la connaissance de l’histoire des Premières Nations et la pertinence de la réconciliation auprès de jeunes de 4e secondaire de l’Institut d’enseignement de Sept-Îles. Maya a tout d’abord présenté son parcours de vie qui est intrinsèquement lié à l’histoire coloniale du pays. La situation particulière des deux classes qu’elle a rencontrées, composées d’Innuat (Innu au pluriel) et de Québécois a rendu le message encore plus pertinent à partager. Dans un deuxième temps, avec l’accord aussi important de Mme Ève Ringuette, jeune femme Innu réalisatrice de court métrage, l’autrice a présenté un court film sur la réalité des pensionnats autochtones. À la suite du visionnement, les jeunes ont été invité à composer un texte sur ce que cela a éveillé en eux et en elles.

« Le fait que [la moitié des élèves] soient issus des Premières Nations apporte certainement un point de vue différent de celui des potentiels futurs élèves. Mes élèves ont trouvé que tout le monde devrait avoir la chance de découvrir l’histoire sous cet angle nouveau. Plusieurs ont été inspirés par Maya lors de la création d’un poème engagé. À refaire encore et encore. » – Marie Gagnon, enseignante, Institut d’enseignement de Sept-Îles

Jocelyn Sioui : les histoires dans l’Histoire

Auteur, comédien et marionnettiste, Jocelyn Sioui est membre fondateur de Belzébrute, band de théâtre et ses œuvres ont pu être appréciées un peu partout au Canada et en France. Il est également fondateur et directeur du OUF ! Festival Off Casteliers, un festival dédié aux arts de la marionnette qui est devenu le plus grand rassemblement de marionnettistes au Canada. Il travaille présentement à développer une série d’ateliers sur l’histoire oubliée des autochtones au XXe siècle.

À partir de faits liés à l’histoire autochtone du XXe siècle, mais aussi d’histoires liées à la mythologie familiale des jeunes, Jocelyn leur a proposé de créer une œuvre composée de ces récits pour mettre en relief l’importance de la mémoire et de se souvenir. À l’école Manikoutai de Sept-Îles, les élèves ont créé de courts textes qu’ils ont par la suite publiés dans le journal de leur école. À l’école secondaire Marie-Clarac, les rencontres ont eu lieu à la fois pendant les cours de français et d’histoire ce qui a donné une dimension particulière à l’ensemble de l’expérience, aboutissant à des créations écrites et vidéo. Dans tous les cas, les jeunes ont fouillé leur histoire personnelle pour lui faire rejoindre la grande Histoire.

« […] ces jeunes ont vraiment apprécié [les ateliers] et, pour plusieurs, il s’agissait d’une première expérience dans une forme d’atelier d’écriture et de création. Ils étaient vraiment enthousiastes et heureux de pouvoir laisser libre cours à leur créativité. Merci beaucoup pour l’expérience que vous avez offerte à nos élèves, dans un moment assez particulier de leurs vies ! » – Christine Touzel et Geneviève Otis, enseignantes, école Manikoutai, Sept-Îles

« Les élèves ont été touchées par les propos de M. Sioui et ont adoré ses questions de réflexion existentielles ! Personnellement, j’aimerais le recevoir chaque année, en face à face si possible, afin de poursuivre ce projet interdisciplinaire qui a su bousculer les troupes et leur faire vivre une expérience tout à fait extraordinaire. » – Annie Frenette, enseignante, école secondaire Marie-Clarac, Montréal

Jani Bellefleur-Kaltush : encapsuler le moment

Originaire de la communauté innue de Nutashkuan, Jani Bellefleur-Kaltush est réalisatrice, artiste, médiatrice intellectuelle et traductrice innu-français. Elle est aussi la responsable à la mobilisation et l’impact collectif au Wapikoni mobile où elle s’implique depuis 2009. Elle a réalisé plusieurs courts-métrages, est la première femme des Premières Nations à compléter un programme en réalisation cinéma (INIS) et travaille également comme médiatrice culturelle chez Exeko, organisme qui utilise des approches innovantes et collaboratives pour créer les conditions nécessaires à l’inclusion et l’émancipation intellectuelle des jeunes et des adultes.

Imaginer son propre film : tel était le projet proposé par Jani à des élèves de 6e année de l’école Saint-Étienne, afin de leur permettre de capturer un moment de leur vie avant leur passage au secondaire. Un projet qui a mis de l’avant leur singularité en tant qu’individu, mais également leur identité collective. À l’aide de présentations d’extraits de courts-métrages du Wapikoni mobile, Jani a initié les jeunes à l’univers de l’écriture scénaristique. Elle a travaillé avec elles et eux le choix du sujet, l’élaboration d’un synopsis et l’ébauche d’un scénarimage (storyboard). Au fil des rencontres, elle a eu l’occasion de démystifier l’univers du cinéma et créer des discussions passionnantes avec les jeunes. La magie du virtuel a même permis aux parents et aux grands-parents d’assister au moment magique de la diffusion en direct, en même temps que les élèves !

« Le projet a été l’un des plus beaux projets que j’ai eu la chance de réaliser en classe. Jani est une créatrice à l’écoute qui a à cœur de partager son histoire avec les jeunes. Comme le projet s’articulait autour de l’identité (celle des Premières Nations et la nôtre), les échanges ont été très enrichissants. Jani a su répondre avec sérieux et honnêteté, à toutes les questions qu’avaient les élèves. […] La participation des élèves a été excellente et le lien qu’ils ont créé avec Jani au fil des rencontres était merveilleux. Nous pouvions d’ailleurs sentir cet attachement lors de la journée de tournage. Bref, une rencontre improbable entre une réalisatrice et un groupe de jeunes, qui a donné naissance à un magnifique projet. » – Sandra Verilli, enseignante, école Saint-Étienne, Montréal

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Un aperçu du magazine de juin !

Communication-Jeunesse publie un magazine trimestriel où la littérature jeunesse est à l’honneur, par une sélection de livres d’ici et des articles sur une thématique donnée.

Numéro 2 – Été 2021

Thème: Le souvenir d’enfance

Illustration: Amélie Montplaisir

POUR TÉLÉCHARGER LE MAGAZINE

 

Articles par Communication-Jeunesse

«Brève histoire de la littérature jeunesse d’ici»

«L’été c’est fait pour lire : astuces pour faire lire les ados cet été»

«Semer l’amour de la lecture dans tout le pays»

«Sélections thématiques sur le thème du souvenir, de la mémoire, des grands-parents et du journal intime»

«Sélection Oh, Nostal-CJ!»

 

Articles avec collaborateur·rice·s

«L’enfance, ce terreau fertile», extrait d’une causerie avec Simon Boulerice

«L’inspiration ancrée dans le réel», avec Guylaine Guay à propos de sa série Clovis

«Trouver la beauté dans le deuil», entrevue avec Christine Arbour et Johanna Lezziero à propos de l’album La boîte aux belles choses

«Quand le livre devient trésor», par la Coop Multisports Plus

«Retour aux sources», par Paul Roux

«Voyage au pays des livres», entrevue avec Katia Canciani

«Souvenirs de jeunesse», par Edith Kabuya

«L’enfance et la BD», par Marie-Hélène Marcoux

 

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Une 3e édition hors de l’ordinaire pour la Résidence Paule-Daveluy!

Que ce soit en présentiel ou en virtuel, pandémie ou pas, des élèves de 5e secondaire de l’école Félix-Leclerc, à Repentigny, ont répondu à l’appel de la création littéraire en compagnie de l’autrice Maryse Pagé.

D’abord travailleuse sociale avant de se destiner à une carrière de recherchiste dans les médias, Maryse Pagé a ensuite scénarisé des séries documentaires pour différents diffuseurs. C’est en 2012 qu’elle se lance dans la grande aventure qui la passionne soit celle de l’écriture de romans jeunesse et se consacre aujourd’hui presque exclusivement à l’écriture. L’autrice parcourt les écoles primaires, secondaires et les cégeps du Québec depuis quelques années pour propager le goût de la lecture et inviter les jeunes à la création littéraire.

En avril et en mai, il était donc tout indiqué qu’elle rencontre les 32 jeunes d’un groupe du profil sciences et mathématiques de Nancy Marsan dans le cadre de la Résidence Paule-Daveluy. Ces derniers ont embarqué dans l’aventure et ont exploré avec elle les rouages de la nouvelle littéraire. Sous le thème de la liberté, ils et elles ont discuté de l’importance d’écrire sur ce qui les interpelle particulièrement, au présent, afin de raconter autant avec le cœur qu’avec la tête.

Au fil des rencontres, Maryse a pu exposer son métier, présenter quelques-uns de ses livres, les thèmes qu’elle y exploite et ses sources d’inspiration. Elle a également abordé des notions de genres littéraires, de construction de personnage, de narration tout en donnant des trucs et astuces pour rendre un texte dynamique et accrocheur. Chacune et chacun s’est investi dans le processus d’écriture avec beaucoup d’enthousiasme.

Et pour rendre l’expérience plus complète, les élèves verront leurs nouvelles réunies dans un recueil qui aura été travaillé par une graphiste professionnelle. Ils ont également eu la chance de recevoir l’illustrateur Mathieu Potvin (qui a illustré certains des romans de Maryse) en ateliers, à la fois dans le cadre d’un de leur cours de français et d’un de leur cours d’arts plastiques. Chaque équipe a créé une illustration pour sa nouvelle et une équipe a été mandatée pour illustrer la page couverture ; Maryse a quant à elle rédigé le texte de la quatrième de couverture. Ceci a été rendu possible grâce à la collaboration financière volontaire de la direction de l’école Félix-Leclerc.

Un projet qui rallie des jeunes, une autrice et un illustrateur autour de la création littéraire et artistique, soutenu par le milieu scolaire ? C’est maintenant chose faite !

« Je suis fière d’avoir été l’heureuse élue pour la bouse Paule Daveluy et je crois avoir réussi ma mission de donner le goût de lire et d’écrire. Qui sait, peut-être y a-t-il de la relève dans ce groupe de jeunes. À voir le résultat de leur travail, je crois que oui. […] Merci à Communication-Jeunesse de coordonner le tout. Merci à la bourse Paule Daveluy. Grâce à vous, 32 élèves auront de beaux souvenirs à montrer à leurs enfants. S’ils font lire leurs histoires à leurs ados plus tard, ceux-ci découvriront que peu importe l’époque, les préoccupations d’un adolescent ou d’une adolescente restent sensiblement les mêmes. » – Maryse Pagé, autrice

« L’initiative a permis aux élèves de développer leur créativité, leur esprit d’équipe et de créer un recueil de nouvelles. Ils ont embarqué dans l’aventure et ils en sont très fiers. […] Quand les élèves vous disent que ce projet les a maintenus motivés pour terminer l’année, alors je crois que c’est mission accomplie. Continuez d’inspirer les jeunes et de transmettre la culture, c’est important. Maryse a été très généreuse de son temps, car le projet était ambitieux. Elle a répondu aux courriels des élèves et les a accompagnés dans l’écriture de leur nouvelle. » – Nancy Marsan, enseignante, école Félix-Leclerc

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Des résidences scolaires qui ont du panache

Les résidences scolaires 2021 qui se sont tenues dans trois écoles du territoire montréalais de février à mai se sont conclues avec beaucoup d’émotions.

Financées par le Conseil des arts de Montréal (CAM), le ministère de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MÉESR), par l’intermédiaire de son programme Une école montréalaise pour tous, et pilotées par Communication-Jeunesse, ces résidences ont permis aux autrices Lora Boisvert, Jennifer Couëlle et Céline Leblanc Barsalo de rencontrer leur jeune public.

Durant 9 à 12 semaines, 11 classes de 1er et 2e cycle du primaire ont ainsi bénéficié de la présence des trois créatrices afin de mettre en œuvre des projets de création littéraire intégrant arts plastiques, poésie et structure du récit. Au fil des mois, les élèves et les autrices ont tissé des liens précieux, qui plus est en cette année de tous les bouleversements où chaque rencontre a pu être vécue en présentiel !

« Ce projet a été une expérience inoubliable pour une auteure comme moi. Vivre les différentes étapes avec les enfants et les enseignants m’a donné des ailes. Rien de plus magique que de voir les réactions des enfants, d’entendre leurs commentaires, de percevoir des étincelles dans leurs yeux, de sentir leur enthousiasme… »
– Céline Leblanc Barsalo (école Harfang-des-Neiges, CSSMB)

    

« Les mots me manquent pour exprimer la joie profonde que j’ai vécue durant ces trois mois de résidence. Les échanges avec ces près de 80 enfants de 6,7 et 8 ans, issus de milieux culturels et ethniques variés, ont été d’une richesse que je n’oublierai pas de sitôt. »
– Jennifer Couëlle (école Gilles-Vigneault, CSSDM)

 

« […] cette résidence a été, pour moi, une première occasion d’avoir un contact prolongé avec mon lectorat. Elle m’a permis de mieux cerner ce qu’ils aiment et d’éveiller le goût de l’écriture chez certains élèves. J’ai trouvé très gratifiant de voir le sourire émerveillé des élèves lorsqu’ils ont découvert le résultat final du projet qu’on a fait ensemble. Je referais des résidences de ce genre sans hésiter puisqu’elles sont très inspirantes pour la création. »
– Lora Boisvert (école Sainte-Marguerite-Bourgeoys, CSSPI)

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Une tournée pancanadienne réussie !

La 20e édition de notre grande tournée Lire à tout vent / Readers Take Flight s’est déroulée en format virtuel à travers le Canada du 2 au 8 mai 2021.

Naviguant entre les différentes mesures sanitaires avec brio, les quelque 340 rencontres virtuelles prévues à travers le pays furent des moments de pur bonheur et d’évasion littéraires dans l’univers fantastique des créatrices et créateurs d’ici.

Merci à tous et à toutes!

Quelques commentaires

« J’ai littéralement eu un coup de cœur pour l’animation offerte par [l’auteur] à mes 18 élèves du préscolaire. […] Merci de partager cet amour de votre travail d’auteur. Votre amour de votre public jeunesse pouvait se sentir à travers votre écran. »

– Julie Daigle, enseignante, école alternative Le Baluchon (Laval, QC)

« Je prends quelques minutes pour vous laisser savoir que vos ateliers ont été tellement appréciés par les élèves et les enseignants de notre école ! Avec la COVID-19 et l’isolement de notre petit village, je peux vous confirmer que nous avons assisté à plusieurs ateliers en ligne, donc un bon échantillon pour comparer. Les retours sont très positifs ! Nous avons même reçu des courriels de parents ! Merci pour tout ! C’était formidable ! »

– Marie-Lou La Barre, orthopédagogue et enseignante, école des Sept-sommets (Rossland, CB)

« J’ai reçu un accueil chaleureux ! Les élèves avaient été bien préparés. Ils m’ont posé des questions pertinentes sur mon travail. Ils prenaient des notes, curieux et intéressés par mes livres. Grâce à la tournée Lire à tout vent, j’ai pu rencontrer mes lecteurs et faire découvrir mes œuvres à ceux qui ne les connaissaient pas. En somme, cette tournée est valorisante et très stimulante. [Elle] est excellente pour le processus créateur ! [Elle] nous met dans un bel état d’inspiration. Merci ! »

– Julie Royer, autrice

« Une rencontre tout simplement magique ! Les élèves ont été impliqués dans la rencontre du début jusqu’à la fin. Ils étaient très fiers de leurs dessins et d’apprendre de nouvelles techniques pour dessiner. Ils ont même trouvé que le temps avait passé trop vite !! Une rencontre que je recommande à tous. »

– Josée Fortin, enseignante, école Saint-Joseph CSSPI (Montréal, QC)

« Ce fut vraiment une très belle rencontre. [L’autrice] a pris le temps de répondre aux dizaines de questions des élèves. Mes élèves ont été attentifs du début à la fin, car la rencontre était vraiment intéressante. Elle a suscité leur intérêt au point que mes élèves veulent tous lire ses livres. J’ai beaucoup aimé qu’elle parle d’elle quand elle était jeune, car je pense que plusieurs de mes élèves se sont vus en elle. Vraiment très contente d’avoir eu la chance de pouvoir participer [à cette tournée]. Un gros merci ! »

– Isabel Pinel, enseignante, école Clair-Matin (Saint-Eustache, QC)

« J’aimerais [en] profiter pour vous mentionner que la tournée Lire à tout vent est très précieuse pour les auteurs. C’est un moment privilégié pour rencontrer les lecteurs et c’est toujours un plaisir de transmettre aux élèves ma passion pour la lecture et l’écriture. Un immense merci de m’avoir fait vivre cette formidable expérience ! »

– Carolyn Chouinard, autrice

 

 

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Edith Kabuya, porte-parole pour les 50 ans de CJ !

C’est avec un grand plaisir que CJ accueille Edith Kabuya, autrice, scénariste et traductrice, à titre de porte-parole pour la prochaine année.

Née à Montréal le 14 avril 1987, Edith Kabuya est diplômée de l’INIS et bachelière en psychologie de l’Université McGill. Elle est récipiendaire de la Bourse Netflix pour la diversité. Québécoise d’origine congolaise, elle souhaite refléter dans ses écrits la conciliation de ses deux identités culturelles à travers les manies, les valeurs et les origines des personnages qui peuplent ses univers.

Sa populaire trilogie fantastique Les Maudits, chaudement accueillie par le public et la critique, est publiée aux Éditions de Mortagne depuis 2012. Forte de ce succès, elle a ensuite fait paraître, entre 2018 et 2019, sa série Victoire-Divine. Les deux séries de romans ont aussi été publiées en France, aux Éditions Hachette, et sa trilogie Les Maudits vient également de recevoir les fonds FMC-SODEC pour une adaptation télévisuelle.

Une porte-parole, ça fait quoi ?

Edith Kabuya joue avec les mots depuis qu’elle est toute petite. Avide de lectures en tout genre, curieuse et passionnée, elle dévore avec intérêt ce qui se publie ici et ailleurs.

À titre de porte-parole de CJ, elle sera amenée à promouvoir la lecture et les activités de notre association auprès des jeunes et du grand public.

« Je suis très flattée de collaborer avec CJ pour promouvoir la lecture jeunesse. J’adore lire, mais j’adore SURTOUT parler de livres. » — Edith Kabuya

Par l’entremise d’articles, de capsules vidéo et de publications sur nos réseaux sociaux, l’autrice partagera son amour de la lecture, ses coups de cœur et ses découvertes littéraires. Elle souhaite engager la conversation avec les jeunes autour des bienfaits de la lecture et de la richesse et la qualité des œuvres d’ici pour la jeunesse. Un portrait de son parcours littéraire a été fait dans le magazine CJ, qu’est-ce qu’on lit ?, de mars dernier, et elle signera un article dans le magazine de juin.

Toute l’équipe de CJ est honorée qu’Edith porte son message !

 

 

Pour visionner le plus récent événement de CJ auquel Edith a participé:

Malédictions, légendes urbaines et frissons… l’horreur dans la littérature jeunesse | Causeries LIRE

 

 

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La 20e édition de Lire à tout vent/Readers Take Flight est en cours!

La 20e édition de notre grande tournée Lire à tout vent/Readers Take Flight se déroule à travers le Canada du 2 au 8 mai 2021. Et comme rien — pas même une pandémie — ne peut empêcher de transmettre et vivre le plaisir de lire et de plonger dans des univers de créatrices et créateurs d’ici, toutes les rencontres ont été prévues de manière virtuelle.

Communication-Jeunesse (CJ) et le Centre du livre jeunesse canadien (CLJC) sont heureux de collaborer à l’élaboration de cette tournée. En ce début mai, c’est ainsi plus de 340 rencontres qui auront lieu en français ou en anglais cette semaine dans le cadre de la tournée. De Campbellton à Chicoutimi, de Rossland (CB) à Airdrie (CB) en passant par Mashteuiatsh, Saint-Georges-de-Windsor et Pont-Rouge, près de 17 000 jeunes pourront rencontrer avec bonheur un des 46 créateurs et créatrices jeunesse d’ici participants.

Volet francophone
Annie Bacon : Saskatchewan

Dïana Bélice : Colombie-Britannique

Alain M. Bergeron : Whitehorse (YK) et Montréal

Steve Beshwaty : Alberta

Stéphan Bilodeau: Varennes, Québec, Boucherville, Deux-Montagnes, Welland (ON)

Lora Boisvert : Yukon

Jocelyn Boisvert : Ontario

Carolyn Chouinard: Nouveau-Brunswick

Lucile de Pesloüan : Nouvelle-Écosse

Alex S. Girard: Mashteuiatsh, Montréal, Québec, Saint-Prosper, Rossland (CB)

Andrew Katz : Montréal, Sainte-Brigitte-de-Laval, Laval, Boisbriand,

Magali Laurent : Laval, Gatineau, Saint-Jean-sur-Richelieu, Airdrie (AB), Montréal

Emmanuel Lauzon : Île-du-Prince-Édouard

Juliana Léveillé-Trudel : Mashteuiatsh, Montréal, Rossland (CB), L’Assomption, Welland (ON)

Diya Lim : Territoires du Nord-Ouest

Anne Renaud : Saint-Augustin-de-Woburn, Saint-Georges-de-Winsdor, Montréal, Chicoutimi, Longueuil, Saint-Urbain,

Élise Rivard : Montréal, Baie-Saint-Paul,

Pierre Rodrigue : Gatineau, Pont-Rouge, Pierre Rodrigue

Lina Rousseau : Welland (ON), Montréal,

Julie Royer : Gatineau, Saint-Eustache, Montréal, Laval

Mireille Villeneuve : Manitoba

Volet anglophone

Hatem Aly

Saumiya Balasubramaniam

Katherine Battersby

Michelle Barker

Charlene and Wilson Bearhead

Aidan Cassie

Cecil Castellucci

Paul Covello

Rita Cox

Natasha Deen

Lori Doody

Selina Eisenberg

Carolyn Fisher

Clayton Hammer

Mireille Messier

Debbie Ridpath Ohi

Kenneth Oppel

Shane Peacock

Jean E. Pendziwol

Monique Polak

Robin Stevenson

Kevin Sylvester

J.Torres

Nicola Winstanley

Carte blanche

Ce sont Nicole Testa et Annie Boulanger qui détiennent cette année la Carte blanche, qui leur permet d’élaborer un petit projet littéraire en classe. Deux groupes de maternelle 5 ans de l’école Moisson-D’Arts, à L’Isle-Verte, et à l’école des Vieux-Moulins, à Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup, travailleront dans un premier temps à la création collective d’un personnage bienveillant. Ensuite, inspirés de l’histoire de Lili Macaroni, les enfants fabriqueront leur propre papillon porte-peine.

Merci à tous nos partenaires qui ont contribué à l’organisation de cette tournée offrant ainsi à des milliers de jeunes la chance de vivre une expérience enrichissante en compagnie de créatrices et créateurs d’ici!

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